Dans son roman, nous retrouvons quatre générations :
1. L'arrière-grand-père et l'arrière-grand-mère.
2. Leurs trois enfants : Jeanne-Marie , Jean-Baptiste et Marcel.
3. Claudie (fille de Jeanne-Marie) et Jacques (fils de Marcel) finissent ensemble.
4. Ces derniers donnent naissance à Matthieu et à sa soeur Aurélie.
4 bis. Le meilleur ami de Matthieu est Libero.
Jérôme Ferrari nous présente une oeuvre dans laquelle il décrit la vie de Marcel, de son petit fils, Matthieu et de l'ami de ce dernier, Libero.
Il nous explique, tout au long de ce roman, comment des mondes peuvent-ils être à leur apogée et s'engouffrer dans le néant le lendemain, donnant alors naissance à un monde nouveau. Matthieu, par exemple, est devenu gérant d'un bar corse avec son ami Libero. Il pensait alors vivre dans le meilleur des mondes possibles, selon la philosophie de Leibniz. Seulement, le microcosme de leur bar, dans lequel ils semblent puiser tous leurs moyens de subsistance, semble si fragile et demeure, à l'instar de la disparition irrémédiable des générations, susceptible d'être remplacé par quelque chose de momentanément plus puissant.
Jérôme Ferrari s'interroge sur le renouvellement des mondes, de leur naissance à leur fin. Qu'est-ce qu'un monde ? Telle est la question à laquelle notre auteur tentera de répondre. Il raconte les histoires de certains mondes, placés à différentes échelles :
1. Le monde propre aux générations qui se succèdent.
2. Le monde propre aux amours, avec l'épouse de Marcel qui décédera suite à un accouchement.
3. Le monde propre au bar de Libero et de Matthieu.
Le tout est comparé à la conception du monde selon Saint Augustin, dont les sermons repris en fin de roman donneront naissance au titre de l'oeuvre.
1. L'arrière-grand-père et l'arrière-grand-mère.
2. Leurs trois enfants : Jeanne-Marie , Jean-Baptiste et Marcel.
3. Claudie (fille de Jeanne-Marie) et Jacques (fils de Marcel) finissent ensemble.
4. Ces derniers donnent naissance à Matthieu et à sa soeur Aurélie.
4 bis. Le meilleur ami de Matthieu est Libero.
Jérôme Ferrari nous présente une oeuvre dans laquelle il décrit la vie de Marcel, de son petit fils, Matthieu et de l'ami de ce dernier, Libero.
Il nous explique, tout au long de ce roman, comment des mondes peuvent-ils être à leur apogée et s'engouffrer dans le néant le lendemain, donnant alors naissance à un monde nouveau. Matthieu, par exemple, est devenu gérant d'un bar corse avec son ami Libero. Il pensait alors vivre dans le meilleur des mondes possibles, selon la philosophie de Leibniz. Seulement, le microcosme de leur bar, dans lequel ils semblent puiser tous leurs moyens de subsistance, semble si fragile et demeure, à l'instar de la disparition irrémédiable des générations, susceptible d'être remplacé par quelque chose de momentanément plus puissant.
Jérôme Ferrari s'interroge sur le renouvellement des mondes, de leur naissance à leur fin. Qu'est-ce qu'un monde ? Telle est la question à laquelle notre auteur tentera de répondre. Il raconte les histoires de certains mondes, placés à différentes échelles :
1. Le monde propre aux générations qui se succèdent.
2. Le monde propre aux amours, avec l'épouse de Marcel qui décédera suite à un accouchement.
3. Le monde propre au bar de Libero et de Matthieu.
Le tout est comparé à la conception du monde selon Saint Augustin, dont les sermons repris en fin de roman donneront naissance au titre de l'oeuvre.